Un nouveau laboratoire national d’identité numérique
Un laboratoire national d’identité numérique a vu le jour ce printemps grâce à plusieurs partenaires privés et publics, avec DIACC et In-Sec-M.
L’organisme canadien, à but non lucratif, fournira les ressources et l’indépendance nécessaire pour créer un environnement neutre, sain et sécurisé, propice à la promotion, à la validation et au maintien de la conformité et de l’interopérabilité technique entre et avec les différents éléments de la couche d’identité numérique.
Pierre A. Roberge, co-fondateur du laboratoire et membre d’In-Sec-M, explique : « Le laboratoire veut sensibiliser le marché, activer la demande et accélérer l’adoption des solutions d’identité numérique. Le laboratoire aidera les entités publiques et privés en prenant en charge les activités techniques de conformité, d’interopérabilité, de certification et de support de communautés d’intérêts. »
L’adoption et l’intégration de solution d’identité numérique interopérables seront soutenues via la mise à la disposition aux abonnés, d’une collection de bancs d’essai, représentant différentes combinaisons de justificatifs, système et service d’identité et modèle de gouvernance.
« In-Sec-M est un leader canadien de la cybersécurité, a noté Joni Brennan, présidente de CCIAN/DIACC. Nous allons travailler ensemble afin de développer un écosystème d’innovation qui servira de modèle pour le reste du monde. »
« Le Laboratoire est une occasion unique à saisir pour Gatineau, a souligné le président de la Commission sur le développement économique, Jean-François LeBlanc. Le plan d’affaires est finalisé et plusieurs provinces et compagnies d’envergure ont d’ores et déjà démontré leur intérêt pour les services du Laboratoire. Ce projet cadre parfaitement avec les orientations du programme du conseil qui veulent que Gatineau assure un leadership fort et innove en matière de développement économique. »