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Captosec pour la protection de vos actifs informationnels

Élie Mabo est le fondateur de Captosec, une firme de technologie de l’information spécialisée dans la sécurité de l’information, la cybersécurité et les solutions TI pour affaires. Depuis 2016, son équipe et lui fournissent une gamme de services dans quatre domaines précis :

  • le conseil en sécurité de l’information ;
  • la cybersécurité et les services gérés ;
  • la formation en cybersécurité ;
  • les audits, les évaluations et les tests de sécurité.

La mission de l’entreprise est de protéger les actifs informationnels des clients, principalement dans le secteur public.

Qu’est-ce qui vous a motivé à fonder Captosec?

J’ai pu fonder Captosec grâce non seulement aux opportunités d’entreprenariat offertes par la Canada, mais aussi et surtout, à de multitudes compétences acquises dans le passé, comme l’administration des systèmes et des réseaux. Je connaissais bien la sécurité et la cybersécurité. Je suis parti de la France pour m’établir au Canada grâce à CGI et les services d’immigration du Québec et du Canada. J’ai créé mon entreprise pour être indépendant. Ceux qui me connaissent savent que je travaille très fort et quasiment sans arrêt. Je me suis lancé sans hésiter!

Qu’est-ce qui vous distingue dans le domaine de la cybersécurité?

Nous nous différencions des autres par notre accompagnement contextualisé des clients dans l’atteinte de leurs objectifs d’affaires. Notre but est d’aider les clients à protéger leurs informations, à satisfaire aux exigences de conformité et à sauvegarder leur image. Nous offrons des formations en cybersécurité pour augmenter l’efficacité de la protection à travers des connaissances et des compétences pointues acquises. Je pense qu’on se distingue aussi par la qualité et l’engagement de notre équipe. Les clients sont satisfaits.

Quels sont vos projets pour l’avenir?

Petit à petit, nous souhaitons rehausser certains outils de notre centre d’opérations et de sécurité pour augmenter notre efficacité et notre offre de services en cybersécurité. Actuellement, notre marché est surtout au Québec, mais nous aspirons à développer le marché de l’Afrique. Ce n’est pas ce qui est le plus rentable, mais ça vaut la peine et on veut aider. Ça fait partie de notre mission.

Qu’est-ce qui a changé depuis la pandémie?

Depuis le début de la pandémie, nous avons réajusté notre mode de travail et certaines offres de services. Nos rencontres d’équipe et avec des clients sont maintenant virtuelles. Les formations que nous offrons se font maintenant exclusivement en ligne. L’avantage, c’est que les participants peuvent les suivre à leur rythme, en fonction de leur emploi du temps. Ça fonctionne très bien et ça va continuer même lorsque la pandémie sera dernière nous.

Qu’est-ce que ça vous apporte d’être membre d’In-Sec-M?

Ça ne fait pas longtemps que nous sommes parmi les joueurs. Nous avons joint In-Sec-M il y a environ un an. On a décidé d’embarquer dans l’aventure pour augmenter la visibilité de notre entreprise et créer des opportunités d’affaires. Notre équipe travaille d’ailleurs sur le développement d’une solution innovatrice.

Quelle ressource sur la cybersécurité conseilleriez-vous à vos collègues?

Je conseille toujours le Centre canadien pour la cybersécurité : toutes les ressources de base y sont pour répondre aux enjeux et menaces de cybersécurité!

Pour lire d’autres portraits : StreamScan, une protection informatique de niveau supérieur